Suite à cette agression, une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Bayonne. Cinq personnes sont en garde à vue : un homme d’une trentaine d’années, depuis dimanche, et quatre autres depuis lundi.
Suite à cette agression, les collègues de la victime ont fait valoir leur droit de retrait. La quasi-totalité des bus ne roule pas, ce lundi matin, alors que les conducteurs se sont rassemblés au dépôt Chronoplus, en guise en soutien au conducteur dans un état grave. Un groupe s’est rendu à l’hôpital, à pied.
Sur place, les chauffeurs ne semblent pas étonnés, malgré le choc d’une telle agression. Comme l’explique Ouest-France, ce sont trois agressions qui ont eu lieu sur les lignes. Selon eux, les tensions entre les passagers et le manque de sécurité ont provoqué cette situation.
A 11 heures, Claude Olive, maire d’Anglet et président du Syndicat des mobilités, et Jean-René Etchegaray, maire de Bayonne, ont rencontré les délégués syndicaux CGT, FO, CFDT et la direction de Chronoplus.