Lucie, 16 ans, disparue dans la Meuse : le point sur l’enquête
L'adolescente a disparu de chez elle le dimanche matin du 4 février 2024 et depuis, sa famille n'a reçu aucune nouvelle. Le parquet de Bar-le-Duc a ouvert une enquête. Quels sont les développements de l'affaire ?
TL;DR
- Lucie Cavare, 16 ans, est portée disparue depuis le 4 février 2024.
- Une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte par le parquet de Bar-le-Duc.
- Un appel à témoin a été lancé par la gendarmerie pour retrouver Lucie.
Une disparition inquiétante
Des jours d’angoisse se sont écoulés depuis la disparition de Lucie Cavare, une adolescente de 16 ans, native de Vavincourt, dans la Meuse. Le dimanche 4 février 2024, Lucie a quitté sa maison, laissant derrière elle une famille désemparée et des questions sans réponse. Depuis ce jour, elle n’a pas réapparu.
Une enquête en cours
Face à cette disparition, le parquet de Bar-le-Duc a ouvert une enquête, confiée à la brigade de recherches de Commercy. Cette situation rappelle celle d’Erwan, un jeune homme de 18 ans, disparu dans les Deux-Sèvres. Les éléments de l’enquête, bien que nombreux, ne permettent pas encore de privilégier une piste spécifique.
Des signalements ont été faits, mais « pour le moment, le parquet ne privilégie aucune piste », selon France 3 Grand Est.
Un appel à témoin
Les parents de Lucie ont d’abord lancé un appel à témoin sur les réseaux sociaux, qui a été relayé par le réseau de transports urbains de l’Agglomération Meuse Grand Sud. Cet appel a été partagé plus de 8 000 fois.
La gendarmerie de la Meuse a pris le relais le mardi 13 février, publiant à son tour un appel à témoin. Lucie est décrite comme mesurant 1,55 m, avec des cheveux longs châtains clairs et portant un appareil dentaire. Le jour de sa disparition, elle portait une doudoune à capuche noire, un sweat à capuche rouge avec une fleur brodée sur le torse, un pantalon clair, des baskets Adidas blanches et un sac à dos Eastpak.
Une disparition volontaire ?
Un élément intrigant soulève des questions. Un courrier, reçu par la famille le 8 février, simplement signé « C’est Lucie, je vais bien ». Ce message, dont l’écriture a été reconnue par la mère de Lucie, suggère-t-il une disparition volontaire ? À ce stade, rien n’est moins sûr. L’enquête se poursuit, laissant une famille et une communauté dans l’attente de réponses.