Valérie Trierweiler apprend de façon « brutale » et « sans aucun motif valable » son licenciement de Paris Match
Une nouvelle apprise par l'ex-compagne de François Hollande pendant ses congés.
Valérie Trierweiler, ex-compagne de François Hollande, est connue pour être une journaliste aguerrie, officiant notamment pour Paris Match… avant son licenciement. Un licenciement inattendu et brutal pour la femme, qui l’a annoncé sur Twitter, partageant son choc face à cette situation. Paris Match, qui appartient au groupe Lagardère, devrait limoger d’autres employés selon La Lettre de l’audiovisuel. Âgée de 55 ans, Valérie Trierweiler a passé une bonne partie de son vie à travailler pour le média, et dirigeait également des interviews pour la chaîne D8.
Un licenciement inattendu pour Valérie Trierweiler
C’est en 1989 que Valérie Trierweiler a rejoint les rangs de Paris Match, menant une grande carrière journalistique. La femme a ensuite réalisé plusieurs interviews politique pour la chaîne D8, passant également par la case écriture. Car en 2014, Valérie Trierweiler a connu le succès avec Merci pour ce moment, portant sur son ancien compagnon, François Hollande, ex-président de la République.
Et à l’âge de 55 ans, Valérie Trierweiler annonce sur Twitter avoir perdu son emploi de façon brutale, sans être prévenue, chez Paris Match.
« J’ai appris en plein cœur de l’été et pendant mes congés de façon extrêmement brutale mon licenciement de Paris Match où je travaillais depuis trente ans. Ce licenciement sans aucun motif valable me laisse en état de choc et de sidération. » – Valérie Trierweiler
Une décision d’autant plus incompréhensible pour la journaliste qui n’avait pas été prévenue, alors que La Lettre de l’audiovisuel avait partagé, en amont, cette information.
La Lettre de l’audiovisuel a également révélé que plusieurs autres licenciements sont prévus au sein de la rédaction de Paris Match, détenu par Lagardère.
En réponse à cette annonce, Valérie Trierweiler a reçu énormément de soutien sur les réseaux sociaux. D’autres, en revanche, se montrent moins solidaires, expliquant à la journaliste que ce genre de situation arrive régulièrement, à des millions de français.